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ON EST DESCENDUS À TRENTE, MAIS VOUS POUVEZ ENFIN VOUS AMUSER ! Étincelle, étincelle. [PV Ecko] 458959783
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 Étincelle, étincelle. [PV Ecko]

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Invité


Étincelle, étincelle. [PV Ecko] _
MessageSujet: Étincelle, étincelle. [PV Ecko]   Étincelle, étincelle. [PV Ecko] Icon_minitimeDim 31 Oct - 19:45

    Étincelle, étincelle. [PV Ecko] Iconrpsley Étincelle, étincelle. [PV Ecko] Iconrpecko

    Une odeur vague de vieux scotch embrumait l'air alors qu'il pianotait ses quelques fables. Entre les murs vibrants dansaient ses partitions de violon, s'envolant au gré du vent, joueur chatouillant les vieux rideaux bordeaux de la fenêtre. Les notes tombaient, s'éparpillaient, guidées par la folie du compositeur. A l'extérieur, l'orage grondait d'une voix roque et intimidante, fissurant la quiétude d'une mélodie douce et légère. Chaque goutte de pluie accompagnait le mouvement dans son harmonie, éclatée sur un ancien morceau de tuile, la gouttière devenue torrent les emportant dans un espacé oublié. Des volets claquetant attirèrent son attention alors qu'une ode de pluie venu d'ailleurs vint se déposer dans son esprit, éveillant ses sens d'une nouvelle manière. Sley s'approcha de sa fenêtre pour en fermer les volets battant. Il leva ses yeux interrogateurs au ciel, à l'instant ou un éclair vint l'éblouir d'une clarté bleutée. Il soupira dépité par l'intempérie, lui qui avait pourtant prévu de sortir en ville et s'acheter quelque cigare. Tout juste réveillé par l'orage grondant, il était encore vétu de ses vêtements de la veille. Dans un espoir, il jeta un œil vers son lit dont les draps se faisaient la guerre mais dont l'absence de vie lui pinça le cœur. Il se gratta l'arrière du crâne, déçu, avant de se diriger vers sa salle de bain. En passant, il attrapa des vêtements propres, une serviette, et s'enferma prêt à se détendre dans la chaleur de la douche. Mais contrairement à l'effet escompté, l'inverse se produisit : une crampe lui saisit radicalement le vente. Il ne put empêcher une larme de couler, soudainement envahit d'un sentiment de deuil profond. Une vieille partie de son âme estropié venait de rejoindre un autre monde, et il se sentait la douleur d'une telle cicatrice. Il se laissa glisser contre la parois glacée, désorienté par cette soudaine bouffée de sentimentalisme. Tout s'évapora avec l'eau chaude qui rinçait son corps nu, ne lui laissant qu'un arrière goût d'incompréhension et une affreuse migraine. Aucun doute, c'était sûrement du à ce cocktail qu'il avait bu la veille avec une inconnu. Il avait pourtant eu un doute énorme quant à ses intentions, mais pris dans sa folie de plaire, il avait accepté ce qui lui valu un beau blackout. Il soupira pour la deuxième fois de la journée. Il ne l'avait pas remarqué plus tôt, mais il n'avait plus sa montre au poignet et inutile d'aller vérifier si le porte-monnaie était intacte. Récapitulons, tirette, pharmacie, puis tabac.

    Après s'être longuement savonné, il ceintura la serviette à sa taille, agrippa son paquet de clopes, et se posa sur le bord de son lit prêt à en allumer une. Cependant, un bruit semblable à un cri l'éveilla de sa torpeur. Tel un prince, il regagna toute son énergie et plongea vers la porte de son appartement pour la claquer contre le mur et se jeter vers le couloir extérieur. Avec une dextérité inouïe, il regarda à droite, puis à gauche mais ... rien. Une hallucination encore du à cette foutue drogue ? Ou peut-être avait-il confondu le bruit strident du tonnerre avec le cri d'une demoiselle, ses hormones le travaillant au corps ? Il baissa la tête, dépité, et porta sa cigarette à présent mouillé à ses lèvres. Sley continuait de cracher sa fumée en médisant sur le temps qui ne cessait de couler à ses pieds, lassé de ces battements de cœur de perdus. D'épais nuages noirs prenaient place, renforçant le débit d'eau trouble coulant sur les rebords de la route en contrebas, se déversant dans les égouts d'un bruit caractéristique. Le vent soulevait ses ailes, claquant le jeune homme d'une agréable fraicheur. Il s'appuya du coude sur la grille face à lui, observant la ville, dans une prière païenne étrange. Et malgré la tempête, il avait déjà oublié la veille, oublié ses objectifs de la journée, oublié qu'il était presque nu, là dehors. Il restait interdit. Toute cette énergie qui avait foudroyé son corps quelque secondes auparavant sembla s'évaporer dans un soupir. Pourquoi donc ces chaines devaient elles brimer chaque pas de son chemin ? Était-il impossible, au fond, de grimper une marche sans en descendre de deux sous le poids d'une vie ? Il commençait à sentir cette pluie glacée qui lui fouettait le dos, ce froid mordant, l'inquiétante atmosphère que se dégageait de ces couloirs abandonnés de toute âme. Il lui semblait que l'espoir qu'il tenait vivement dans sa main venait de mourir. Être stoppé dans sa course, lui qui n'aspirait qu'à courir pour toucher l'horizon. Putain.
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Masael N. Black
Masael N. Black, got it ?

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ici depuis : 02/09/2010
i like : pas toi.

Étincelle, étincelle. [PV Ecko] _
MessageSujet: Re: Étincelle, étincelle. [PV Ecko]   Étincelle, étincelle. [PV Ecko] Icon_minitimeDim 31 Oct - 21:12

« Il suffit Ezekiel ! Comment veux tu que je dorme avec un chat gros comme toi qui se pose sur ma tête dès que je ferme les yeux ! Sale chat va ! »

C'est ainsi que le corps dénudé de vêtement et de draps, Ecko se redressa dépitée de ne pouvoir fermer l'oeil. La coiffure en pétard elle sourit et malgré le fait qu'elle ai engueuler son chat il a quelques minutes, Ecko prit son chat dans ses bras pour le caresser furtivement. Ses ronronnement venant à faire hérisser les poils de son chat, puis ceux de sa peaux. Qui se 'pixelisa' en moins de quelques secondes. Elle l'aimais beaucoup son gros chat comme elle avait l'habitude de le faire. La pomme verte n'avais nullement besoin d'un réveil, quand l'on possède u chat de cinq kilos, qui raffole de caresses, et qui vous saute sur le visage pour s'y endormir vers les cinq heures du matin. On en à aucunement besoin. La Rioters passa la main dans les cheveux pour ramener ses mèches de devant vers l'arrière pour avoir une pleine vue sans aucunes gênes. Elle eu à peine le moment de pousser son chat sur le côté du lit, qu'il lui saute sur le dos, griffant à sang son épaule. Le grondement de l'orage aux dehors. Ah mon dieu que ces deux peureux détester l'orage. Si il y a bien un truc dont ils pourraient se passé. C'est bien l'orage. Le bruit assourdissent des éclairs s'abattant aux sols. Le noir total en laissant que quelques lumière bleutés et couleur or sur le ciel couvert de nuage plus grand les uns des autres. Leurs pluie venait provoquer un bruit plus qu'agaçant sur les fenêtre de son appartement. Son, enfin non. Ecko n'était pas seule ici. Non, sa colocataire Emi elle, n'avais aucune gêne avec l'orage. La chanceuse se répétaient – elle. L'orage, c'est le nul, l'orage c'est de la merde, l'orage c'est la mort quoi.

Un soupire se fit entendre dans la pièce dans un moment de non éclair. Puis se fut le petit sourire sur ses lèvres à la vus du portrait de Ryûji sur sa table de chevet. S'il était la, lui aux moins la cajolerais dans ses bras, la réchauffant en même temps, lui murmurant aux creux de l'oreille des mots doux. Il était parfait ce Knight. En parlant d'eux. Ecko possédaient dans son armoire plusieurs tableaux des Numbers du pays. Ou évidement, des fléchettes étaient planté aux niveaux des yeux. La jeune demoiselle à comme une certaine .. fixation sur les yeux, ça en serait quasiment fatiguant à la longue. On ne sais pas vraiment pourquoi elle se focalise sur les yeux. Peut – être parce que sans eux, on ne pourrais pas profiter des beautés visuel de la vie. Sans ses deux petits truc blanc, il serait difficile de percé le secret de la personnalité d'un homme. L'on dit que le regard, reflète l'âme d'une personne. Et Ecko et parfaitement d'accord avec ses dires. Pour cela qu'elle ne baisse que très rarement les yeux devant une personne. Pour que cela se fasse, il faut vraiment y aller. Part cette phrase, je veux dire qu'il faut vraiment y aller pour l'effrayer ou l'intimidé. Certes, elle éprouve une peur horrible pour l'orage, mais ce n'est pas pareil. L'orage c'est l'orage, un homme est un homme. Aussi donc, à chaque fois qu'Ecko et sur les nerfs, elle ouvre son placard loin des regards d'Emi toujours aussi curieuse, et balance toute sa rage sur des fléchettes qui troue, perce encore et encore le regard de ses pauvres, stupide et inutile Numbers. Tous des nuls c'est Numbers.

Ecko serra le tissu qui ne recouvrait que la partie en dessus de son genoux part la main, et le fit voler de l'autre côté du lit pour pouvoir s'en extirper et pouvoir être enfin 'nue'. Enfin nue, elle était en sous – vêtement. Oui parce que l'orage, ça provoque une chaleur encore inexpliqué, puis le chauffage de sa chambre et aux maximum, elle ne risque dans ce cas, pas d'avoir froid. Elle a également horreur d'avoir froid. Pour cela qu'une fois complètement dénudée. Ecko prit son courage à deux mains, poussa son gros chat tout moche de chartreux sur le côté de sa hanche gauche. Et se leva s'étirant d'un geste nullement féminin, pour marcher vers la salle de bain ou elle prit en quatrième vitesse une rapide douche. Elle avait remarqué que son réservoir de cigarette était comment dire, épuisé. Et la dernière tablette de médicament contre le mal de crâne était lui aussi épuisé. Il était temps pour Ecko d'aller refaire sa pharmacie. Car aussi, lors de sa dernière dispute qu'elle n'a pas mentionner à Ryûji, Ecko s'est retrouvé l'omoplate violemment entailler. Mais ça, elle n'en a strictement rien à foutre. Elle est plutôt du genre je m'en foutiste. Si elle se fait mal, beh c'est pas grave. Cela cicatrisera avec du repos, et des soins appropriés à la blessure. Après plus de dix minutes sous la douche, Ecko sortie de cette dernière pour s'habiller d'un fin débardeur noir bleuté, celui ci ne cachant pas du tout le bandage qui débuter aux niveaux de son dos pour passer sur sa poitrine. Il ne lui gênais pas, malgré quelque légère démangeaison bien peux prononcer, tout aller bien. Puis elle enfila son jeans slim gris puis ses converses et passa discrètement la porte de son appartement pour ensuite se retrouver devant sa porte. Allant jusqu'à marcher trois, puis quatre petit pas vers la grille. Pour regarder l'ignoble spectacle qui s'offrait à elle. Ecko n'était pas seule. Ce qu'elle constata en pivotant sa tête vers sa gauche, ou un homme peux habiller se trouvé. Elle le fixa serrant quelque peux la grille. La douleur refaisait surface, et le manque d'antis douleur lui aussi se faisait sentir.

« Kuso .. »
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Étincelle, étincelle. [PV Ecko]

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