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ON EST DESCENDUS À TRENTE, MAIS VOUS POUVEZ ENFIN VOUS AMUSER ! C'est si banal, d'être sentimentale... — Lewis ♥ /!\ 458959783
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 C'est si banal, d'être sentimentale... — Lewis ♥ /!\

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Invité


C'est si banal, d'être sentimentale... — Lewis ♥ /!\ _
MessageSujet: C'est si banal, d'être sentimentale... — Lewis ♥ /!   C'est si banal, d'être sentimentale... — Lewis ♥ /!\ Icon_minitimeVen 20 Aoû - 5:29



C'est si banal, d'être sentimentale... — Lewis ♥ /!\ Badou01_________C'est si banal, d'être sentimentale... — Lewis ♥ /!\ F34w
Quelle heure était-il? Les rayons du soleil peinaient à traverser les rideaux opaques et rouges velours de la chambre du tueur, mais avaient tout de même réussi à le tirer de son sommeil réparateur. Jared se sentait... crevé. Mais il ne se souvenait plus pourquoi. Tant pis, ça allait lui revenir. Levant le regard vers son réveil, le "rouquin" pu se rendre compte qu'il était neuf heures passées. Avait-il tant dormi? D'habitude il était plus matinal... D'habitude. Mais ce soir là n'avait pas été comme la plupart ; maintenant, il se souvenait. Et, se retournant de l'autre côté, ce qu'il pensait fut certifié : il n'était pas seul... Ce n'était pas une femme cependant, puisqu'aucune femme ne devait entrer chez lui, sous peine de mourir "prématurément". Enfin, plus tôt que Jared l'aurait voulu, quoi. Et avoir un cadavre chez soi, non merci! L'odeur de sang était déjà assez présente. Non, c'était un homme qui partageait son lit. Un Rioter, un mec bien quoi.

Bougeant doucement, Jared se colla à lui en passant l'une de ses longues jambes sur celles du (véritable) rouquin partageant sa couche, l'enlaçant de son corps entier et goûtant à sa douce chaleur. Tel une jeune mariée au lendemain de sa nuit de lune de miel, Jared esquissa un sourire heureux et apaisé. Étrange, quand on sait que les deux rebelles avaient pour passe-temps d'aller tâter le corps d'un prostitute refroidie. Mais c'était comme ça, le violeur se sentait en paix avec quelqu'un d'aussi tordu que lui. Qui se ressemble s'assemble, dit-on après tout. Mais lorsqu'ils se retrouvaient en intimité sous les draps, c'était plutôt la rencontre de deux grands esprits. Et cette nuit n'avait pas fait exception à la règle, ça avait été tout bonnement génial. Avec Lewis, ils ne se cassaient pas la tête en préliminaires inutiles et se battaient pour savoir qui dominera cette fois, bien qu'en général Jared fasse exprès de baisser les bras la plupart du temps. Parce que Lewis baisait super bien, tout simplement.



- Hé, réveille-toi... ♥


Secouant légèrement son amant, Jared sourit en le voyant froncer des sourcils pour qu'on le laisse tranquille. Alors, montant à cheval sur lui, l'assassin se pencha sur l'homme prisonnier de ses cuisses pour lui piquer un, puis deux, puis trois baisers papillons, et ainsi de suite pour le réveiller, sa longue tignasse lisse et rouge sang dégoulinant tout en douceur de parts et d'autres de leurs corps et visages pour les entourer comme des rideaux à baldaquins protecteurs. Puis, pour le réveiller un peu plus vivement, Jared se mit à mordiller la lèvre inférieure du rioter avec ses dents pointues, picotant ainsi la chair tendre en menaçant de la percer et d'en faire couler le sang qui les rosissait si joliment.


Dernière édition par ADAMS C. Jared le Mer 27 Oct - 2:46, édité 1 fois
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Ilyès Assouan
Ilyès Assouan, got it ?

messages : 163
ici depuis : 10/08/2010

C'est si banal, d'être sentimentale... — Lewis ♥ /!\ _
MessageSujet: Re: C'est si banal, d'être sentimentale... — Lewis ♥ /!\   C'est si banal, d'être sentimentale... — Lewis ♥ /!\ Icon_minitimeDim 19 Sep - 18:13



C'est si banal, d'être sentimentale... — Lewis ♥ /!\ Badou010_________C'est si banal, d'être sentimentale... — Lewis ♥ /!\ Kuro04
Lewis se trouvait dans une pièce. Mais qui ne lui disait rien du tout. Il était seul et tout était blanc autour de lui. Le photographe se demandait même s’il s’agissait réellement d’une pièce. Ce n’en était pas une. Le rioter se trouvait nulle part. Sans rien ni personne autour de lui. Il savait que ce n’était pas la réalité, seulement un simple rêve mais il était désorienté lorsqu’il n’y avait rien autour de lui. Un peu comme maintenant. Il n’y avait même pas de quoi manger ni de boire dans ce rêve. Lewis s’assit sur le sol(s’il s’agissait vraiment d’un sol) et ferma les yeux. A l’intérieur de lui-même, il se sentait rajeuni. Il lui semblait qu’il avait rajeuni de 5 ans. Ce qui lui donnait dix-sept ans. L’adolescence. Lewis aimait bien cette période. Dommage qu’elle soit passée si rapidement. Soudain, le rioter sentit une main posée sur son épaule et une voix grave dire :

- Lewis…Sauve moi…

Suivit d’un liquide chaud coulant sur son épaule. Du sang ! Le photographe ouvrit les yeux et se retourna. Personne. Pourtant il lui semblait avoir entendu la voix de son frère. C’est alors qu’une salle de bains apparut devant lui. Pourquoi une salle de bain ? Lewis fronça les sourcils et déglutit. La porte s’ouvrit alors et un homme d’une trentaine d’années apparut. Il avait de courts cheveux roux et des yeux verts.

- Grand frère ?

Étrangement son frère ne semblait pas entendre le rioter. La salle de bain, son frère…il se souvenait parfaitement de cette scène; c’était l’assassinat de son grand frère. Non. Il ne voudrait pas revoir cette scène en rêve. Plus jamais. Lewis se dirigea alors vers la sortie de la salle de bain(?) en traversant un corps. Un corps ? Le photographe se retourna et vit son père. Quoi !? Mais qu’Est-ce qu’il faisait là ?! Aucune discussion ne vint, le rioter vit seulement son père sortir un couteau de sa poche. Non. C’était impossible. Il ne pouvait pas s’agir de son père. Pas lui. Pas lui, alors qu’il n’était jamais là. Il ne le voyait qu’une fois par mois et encore. Non. C’était irréel. Il s’agissait d’un rêve donc ce n’était pas réel. Lewis vit le couteau s’enfoncer dans le dos de son frère, sectionner la colonne vertébrale et ressortir par l’entrejambe. Il tomba alors au sol. Le sang ruisselait sur le carrelage et les murs. Le père de Lewis rangea alors son couteau et fit une chose qui choqua le rioter; celui-ci était en train de le nécromancier. Une fois que son père eut terminé, celui-ci sortit de la salle de bain en laissant le cadavre au sol. Le photographe n’avait rien fait pour arrêter ce meurtre. Surtout qu’il avait été témoin de la scène. Mais ce n’était qu’un rêve après tout. Cela n’aura servit à rien; son frère était déjà mort. Des bruits de pas dans les escaliers. Sa mère. En larmes. Pointant du doigt vers son fils en criant :

- Tu l’as tué ! Tu as tué ton propre frère !

Lewis se réveilla alors en sursaut. Une larme avait coulé sur sa joue. Le rioter la fit alors disparaître rapidement. Il vit alors devant lui une cascade de cheveux écarlates caressant son corps et deux yeux rouges.

- Jared ?

Oui c’était bien Jared qui se tenait devant lui. Un rioter comme Lewis mais indépendant. Un violeur. Un criminel. Mais il était d’une beauté Apollonienne. Ils pratiquaient même quelques « activités » ensemble. Le rioter sourit et renchérit en caressant la longue chevelure rouge sang du violeur :

- Déjà réveillé ? Il est tôt tu sais ? On a toute la journée devant nous.

A ces mots, Lewis retourna le « rouquin » sur le dos et l’embrassa. Amoureusement. Langoureusement. Le rioter se sentait bien en sa compagnie. Ce qui était très rare. Une fois le « baisé » terminé, le photographe descendit du lit et lança en se retournant :

- Je reviens.

En souriant, Lewis reprit :

- T’inquiète pas, je m’absente pas bien loin. Simplement à la salle de bain. Ce serait désagréable de sentir la sueur après nos magnifiques débats d’hier soir n’est-ce pas Honey ?

Il termina ces paroles par un clin d’œil. Le photographe se dirigea alors vers la salle de bain qui se trouvait juste à côté de la chambre et ferma la porte. La salle de bain du violeur était vraiment grande en largeur. Des couleurs sombres. Noir et rouge. Surtout du rouge. La couleur préférée du « rouquin ». Lewis, lui, n’aimait pas particulièrement cette couleur. Elle lui rappelait trop le meurtre de son frère. Le photographe essaya de détourner les yeux de cette couleur, sans succès. La couleur rouge était partout dans la pièce.

- Bordel Jared...murmura-t-il.

La seule chose qui n’était pas rouge dans la pièce était la baignoire. Lewis sourit, soulagé. Se laver dans une baignoire écarlate…Il ne le supporterait pas. Le rioter déboutonna son jean(et non il n’est pas nu. Quoi bande de pervers(s)es ! Vous y avez crus hein xD) et son boxer qu’il laissa choir sur le sol(en ayant fait couler un bain d’eau chaude avant) et entra lentement dans la baignoire. L’eau était brûlante mais c’était comme ça qu’il la préférait. De la vapeur s’échappa rapidement de l’eau. Lewis s’allongea alors et ferma les yeux, laissant l’eau tremper ses longs cheveux roux. A peine le rioter avait-il fermé les yeux que la scène lui revenait devant lui. Il ne voulait pas revoir cette scène. Mais comment l’oublier avec cette couleur rouge sang dans la pièce ? Son frère lui manquait terriblement. Le lendemain de la mort de son frère, le jeune homme avait essayé de mettre fin à ses jours. Mais sa mère arrivait toujours au moment crucial. Peut-être maintenant en ce laissant se noyer. Il n’y avait personne pour l’en empêcher à part Jared…Le photographe s’immergea alors entièrement. Alors qu’il sentait déjà le manque d’oxygène, une main s’empara alors de sa chevelure et le tira vers la surface. Lewis éclaboussa le rioter en disant :

- Lâche moi ! Enlève tes sales mains de moi ! Ne me touche pas !

Les larmes ruisselaient sur ses joues. Son cache-œil trempé tomba alors dans l’eau, découvrant la blessure physique de son agression datant de quelques années. Lewis tourna la tête vers le mur rouge sang en murmurant :

- Ne me regarde pas…

Le photographe regarda le « rouquin » dans les yeux, ses larmes continuant à ruisseler sur ses joues. Le regard du violeur lui fit froid dans le dos. Il souriait, découvrant des dents pointues. Le jeune homme déglutit et reprit :

- Quoi ? Ne..ne me regarde pas comme ça !

Malgré l’eau brulante, Lewis tremblait de tout son corps. Il s’immergea alors entièrement dans l’eau…



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